Le baseball, un sport de superstitions

Chat noir, vendredi 13 et baseball au menu

Dans le baseball, les traditions, superstitions, malédictions, et autres étrangetés font partie intégrante du jeu. En ce vendredi 13, l’équipe de TSO vous propose de répertorier les plus connues et les plus bizarres.

Ce sont celles que tout le monde connaît, même les joueurs de niveau régional ! A peine besoin de les mentionner, parce qu’en plus certaines portent la poisse ! Si ? Bon allez, d’accord.

Le lanceur des Mariners de Seattle, Felix Hernandez saute par-dessus la ligne. 
Elaine Thompson / AP Photo
  • On ne marche pas sur les lignes. Attention, là ! Regarde où tu marches.
  • On utilise toujours ses gants porte-bonheur. Oui, même s’ils ont plein de trous.
  • Et puis on les ajuste bien. Plusieurs fois. Même s’ils étaient bien mis.
  • On a aussi ses battes préférées, parfois on leur donne des petits noms, mais surtout on ne les oublie pas. Pas question de frapper avec une autre que la rose, ma pref’.
  • On prend quasiment toujours le même repas avant les matchs. (Des pâtes !)
  • On fait systématiquement la même série de gestes dans le même ordre dans le box des batteurs. Tout pareil. Tout le temps. On ne s’en rend même plus compte. On remet les mèches de cheveux derrière les oreilles, on touche le nez, on… Ah non ça c’est Nadal, pardon !
  • On ne laisse pas un lanceur seul dans le dugout. (Ni bébé dans un coin, à moins que ce soit dans un autre contexte, je ne sais plus)

Les sportifs sont bien connus pour avoir leurs petits rituels, mais certains ont des habitudes vraiment très particulières. On vous laisse juger par vous-même…

  • On commence soft. Les joueurs ont souvent leurs objets porte-bonheur. Pour Tim Lincecum, c’est sa casquette, il portait toujours la même chaque fois qu’il était sur le monticule.
  • Ensuite ils sont aussi nombreux à dessiner des lettres ou des symboles au sol avant de passer au bâton. Wade Boggs traçait par exemple le symbole hébreu « Chia dans la terre.
  • Côté repas, c’est un peu exotique, mais cela reste aussi une part importante de mise en condition pour la victoire. Jim Palmer mangeait une pile de crêpes. Ma foi, pourquoi pas ?
  • D’autres encore ont développé de véritables tocs avec les chiffres. Larry Walker portait le numéro trois, ne swinguais que par séries de trois, réglait son réveil à 3h33, resserrait ses gants trois fois. Il s’est même marié le 3ème jour du mois à 3h33 !
  • Certains sont particulièrement créatifs pour leurs rituels. Turk Wendell par exemple faisait signe au champ centre jusqu’à ce qu’il lui réponde. Ça peut durer longtemps cette histoire. Bon, il se brossait aussi les dents entre chaque manche. (Hein ?). Mais c’était peut-être parce qu’il mâchouillait toujours de la réglisse. Bref, des rituels il en avait BEAUCOUP !
  • Il y a aussi des choses un peu cracra, désolée. Greg Swindell se rongeait les ongles. Déjà, c’est pas fou… Mais surtout, il gardait l’ongle dans sa bouche jusqu’à ce qu’il quitte le monticule. BEURK
  • Un dernier assez cocasse pour la route. Jason Giambi portait un string doré. Comment il en venu là, mystère ! Mais il y a mieux… Ses coéquipiers pouvaient l’emprunter quand ils se trouvaient dans une situation délicate. Oui, Derek Jeter himself a déjà porté ce joli sous-vêtement de bon goût.
  • On passe rapidement aussi sur Moïse Alou pour qui les gants porte- bonheur, ce n’était pas assez. Il urinait littéralement sur ses mains pour qu’elles soient douces. Perso je préfère la crème mais chacun son truc.
  • Allez un dernier pour la route pour finir sur une note sucrée. Yasiel Puig léchait sa batte entre les lancers. Je me demande si elle avait un goût fraise ou plutôt popcorn.

  • J’en rajoute un dernier, vraiment cette fois. Parce que ça concerne mister October et que c’est de saison (et surtout parce que comme ça je peux placer les Yankees dans l’article). Reggie Jackson avait son casque porte bonheur. Quand il a quitté les Angels pour les Yankees, il a conservé son casque et le logo des Yankees a été peint sur celui des Angels.
Reggie Jackson et son casque porte-bonheur. Photo AP

Et c’est la même chose dans les gradins, les spectateurs et les commentateurs aussi ont leurs petites manies.

Incroyable, toutes ces manies, hein ma petite batte chérie ?
Mark J. Rebilas/USA TODAY
  • On ne parle jamais d’un no-hitter quand un match est en cours. JAMAIS !
  • Même tarif pour un perfect game d’ailleurs.
  • On met sa casquette à l’envers pour porter chance à son équipe dans la dernière manche du match.
  • Et bien sûr on n’oublie pas de chanter « Take me out to the ball game » pendant la 7ème manche sinon c’est la malchance assurée.

Vous en voyez d’autres ? Peut-être que vous aussi vous portez vos chaussettes favorites quand votre équipe joue ! On ne juge pas…. 😊


Laisser un commentaire